Vincent brasseur à la maison et au boulot

Vincent La Soyeuse bière brassage

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Pour ce nouvel épisode, nous avons rencontré Vincent, brasseur depuis un an et demi à La Soyeuse. Cette ferme brasserie située à Rontalon dans les Monts du Lyonnais, a été créée il y a bientôt 16 ans par Bertrand Burcklé. Et c’est d’ailleurs chez lui que nous avons enregistré cette rencontre. Merci à Vincent et à la famille Burcklé pour leur accueil chaleureux et leur bon café. Bonne écoute. 

Les conseils de brasseur de Vincent

N°1 : Note et mesure tout pour éviter les frustrations.

N°2 : Lance toi directement avec le tout-grain (les kits, c’est nul!).

N°3 : N’achète pas le malt déjà concassé.

N°4 : Commence par des recettes SMASH.

N°5 : 50cl plutôt que 33cl!

LES POINTS DE VIGILANCE : Le nettoyage et la gestion des températures.

FOURNISSEUR : Bière et Moi à Lyon

MATÉRIEL RETENU : Cuve Klarstein  de 30 litres. Ecoute le podcast pour connaitre son kit matériel parfait pour débuter!

ON A AIME : Le frigo aménagé pour la fermentation dans sa chambre – Les seaux percés à différentes hauteurs

LIVRES RECOMMANDES : How to brew de John Palmer – Technologies brassicoles de Nicolas Imbreckx

Peux-tu te présenter?

Moi c’est Vincent Pinto, brasseur et responsable production (brassage conditionnement et maintenance) à la brasserie La Soyeuse depuis le 1er novembre 2017. Ça va faire bientôt un an et demi. 

Je suis arrivé en ne connaissant rien du tout au brassage ou presque. J’avais brassé un petit peu chez moi, mais vraiment rapidement et j’ai donc appris sur le tas. 

Qu’as-tu fait comme études?

J’ai fait des études dans le génie de l’environnement, en biologie, à St Etienne en DUT. Ensuite, j’ai fait une licence professionnelle à Montpellier en agriculture intégrée (agriculture, environnement, traitement de l’eau). 

Il y a quand même des liens avec ce que je fais maintenant. Je n’ai pas vu directement le brassage en DUT mais j’ai appréhendé les notions enzymatiques par exemple. Donc mes études m’ont aidé et vont également me servir à l’avenir. La semaine prochaine, je vais faire une formation samedi prochain à Dijon, l’Odyssée du brasseur. Cette formation est organisée par Sylvain Jean de Bière et Moi. C’est une formation théorique sur le brassage qui dure une journée. Ça devrait être intéressant.

Comment t'es-tu retrouvé brasseur à La Soyeuse?

J’ai emmené mon CV, pas vraiment au hasard, je connaissais la brasserie. C’était aussi une de mes bières préférées. Mais l’idée de devenir brasseur m’est un peu venue comme ça. Chez moi, je commençais à brasser un peu, ce milieu m’attirait.

Ils ne cherchaient pas forcément quelqu’un. En fait, je n’en savais rien, c’est Romain qui a réceptionné mon CV. 

A Adecco quand Bertrand (Bertrand Burcklé le fondateur de la brasserie) m’a appelé, j’allais passer un entretien. Je ne savais même pas encore si j’allais être pris à la brasserie, mais j’ai préféré dire à Adecco que j’avais trouvé quelque chose. Et c’est bien tombé!

Bertrand m’a d’abord proposé un stage de découverte avec Pole Emploi, de dix jours. Ces deux semaines m’ont un peu introduit au métier, et puis le reste j’ai appris sur le terrain.

En parallèle, chez toi tu devenais brasseur amateur, c'est ça?

J’ai commencé par un kit Nature et Découvertes, c’était une horreur. C’est vraiment du vol, c’est super cher! C’était vraiment une mauvaise expérience. Mais je ne connaissais pas du tout le brassage. J’avais juste lu leur petit dépliant qui accompagnait le kit. Ça n’expliquait rien du tout!

Par la suite, j’ai acheté une glacière Coleman de 48 litres. Et je me suis fabriqué un filtre manifold à mettre dedans. Et j’avais une cuve chauffante Brewferm avec régulation de température à 200€. J’ai mis du temps à m’adapter quand même car l’utilisation de la glacière est un peu aléatoire. 

Aujourd’hui j’ai vendu ces équipements et j’ai racheté une cuve Klarstein programmable avec pompe de circulation. C’est un équipement équivalent au Grainfather, sauf que ça coûte six fois moins cher! Il s’agit d’une cuve avec recirculation grâce à une pompe. Pendant l’empâtage la recirculation est continue notamment.c

Le système est équivalent à celui du Grainfather. Il faut tirer un panier pour égoutter les drêches et permettre le rinçage. L’équipement joue donc le rôle de cuve d’empâtage et cuve d’ébullition pour une contenance d’une trentaine de litres.Par exemple hier j’ai brassé une triple, mais je n’ai fait que 18 litres.

Brasseur à la maison et au boulot : tu n'en as jamais assez?

Oui je brasse au boulot et chez moi. Disons qu’avec des volumes plus petits, on peut plus s’amuser. On a la possibilité de rajouter des ingrédients au dernier moment.

J’avais fait ça avec du café. J’étais parti sur une recette de Porter ou de Stout. Un ami est arrivé pour boire un verre à l’appartement : « C’est marrant, ça sent le café! ». Sauf que je n’avais pas préparé de café. « Vas-y mets-en! » Et au final c’était super bon. Heureusement qu’il est passé!

Je ne sais même pas quelle quantité j’ai mis. j’ai cassé des grains avec un rouleau à pâtisserie et j’ai tout mis dedans. Je n’ai même pas peser ce que j’ai mis dedans. C’était unique. Ce sont les erreurs que je ne fais plus maintenant : ne pas noter, ne pas mesurer… C’est dur après, si c’est vraiment bon et qu’on ne peut pas refaire la même recette, c’est frustrant!

Niveau brassage amateur, je suis arrivé à une bonne installation. Après il faut toujours du temps pour s’adapter un nouveau matériel, peut-être presque dix brassins! Là, je n’y suis pas encore, il me manque encore quelques réglages au niveau de la température par exemple. L’inertie n’est pas la même. La température je pense que c’est ce qu’il y a de plus compliqué à gérer en brassage amateur.

La fiche de brassage, un indispensable du brasseur. A télécharger gratuitement sur le blog.

As-tu une idée du coût de la cuve Klarstein que tu utilises?

J’ai acheté la cuve Klarstein programmable avec pompe de circulation  à 400€ sachant que le Grainfather est à 1000€.

La différence avec le Grainfather, c’est le refroidisseur contre-courant. C’est sûr qu’on ne peut pas leur enlever, ils refroidissent en 10 minutes. J’ai l’eau du réseau, moi, je refroidis en 40 minutes.

Mon collègue Nicolas a la même cuve Klarstein programmable avec pompe de circulation. Il refroidit avec de l’eau de récupération extérieure et il refroidit également en 15 minutes.

Nous avons nous aussi craqué et acheté cette cuve : Tuto première utilisation de la cuve Klarstein !

Qu'as-tu en matériel complémentaire?

J’ai ensuite des seaux classiques pour les fermenteurs. Ils sont en plastique PET et ne coûtent pas plus de 10€. J’en ai beaucoup, car ça arrive souvent qu’ils se mettent à fuir; 

J’ai également le petit matériel : densimètre, éprouvette, broc, serpentin en inox.

Clotilde nous présente la brasserie du Singe Savant et son concept innovant pour accompagner les brasseurs amateurs.

Commercialises-tu les bières que tu fais chez toi?

Non, je n’ai pas le droit! Ce n’est pas vis à vis de la brasserie La Soyeuse, mais plus, vis à vis des douanes. Il faudrait que je fasse les déclarations adéquates, et je n’en ai pas vraiment envie.

Bouteilles ou fûts?

Je ne fais que des bouteilles. Au début je ne faisais qu’en 33cl mais j’ai vite arrêté. C’est beaucoup trop long et ça prend trop de place. Je vais essayer de passer en 50cl.

T'es-tu aménagé un coin pour le brassage?

Je brasse dans ma cuisine. C’est très roots car je suis en appartement et que je suis dans le centre de Lyon. Ce n’est pas adapté mais je m’en contente.

J’ai récupéré un vieux frigo et je me suis bricolé un régulateur de température. Je peux maintenant maintenir ma fermentation à 22,5°C en continue. C’est super! Avant ça, la fermentation était stoppée quand on ouvrait la fenêtre.. L’hiver c’était compliqué, l’été c’était compliqué. L’été dernier, j’ai fait une bière avec une levure qui montait jusqu’à 35°C ;). Il faut s’adapter…

Bon c’est pareil, ce n’est pas hyper pratique, le frigo est dans ma chambre à côté du lit. « Tu dors la tête dans la bière, tu entends le glouglou la nuit? » Voilà, cette nuit ça a commencé, j’étais content de l’entendre!

Ici tutoriel pour fabriquer une chambre de fermentation à partir d’un frigo de récupération!

Qu'est ce que le brassage amateur t'apporte de plus que ton environnement pro?

Je pense que c’est surtout la création de recettes. Dans la brasserie on n’en fait quand même pas une nouvelle à chaque fois.

Après je trouve que faire une bière que du matériel pour 20 litres, ce n’est pas très représentatif. Il y a toujours des défauts. Alors après, quand tu fais des bières très maltées, très torréfiées, type stout, ça ne se sent pas. Ça ne se sent quasiment pas, à part vraiment si c’est piqué (contaminé). Moi je n’ai jamais réussi à faire une bonne blonde chez moi! Il y a toujours un truc qui ne va pas. Après ce sont des recettes que j’ai inventées, donc c’est aussi peut-être ça qui ne va pas…

Si tu faisais une recette de la brasserie avec ton matériel, quel serait le résultat?

Ce serait marrant de faire ça! Je n’ai jamais essayé, il faudrait que je le teste. J’avais déjà eu l’idée de le faire mais à chaque fois je me suis dit qu’il fallait que je rajoute cet ingrédient (toujours un peu farfelu). Mais oui, il faudrait que je fasse ça pour voir même le rendement, ça serait vraiment intéressant.

A lire aussi   Yann du Sous-Bock nous parle de la Saison

Une recette faite sur du matériel différent donne toujours des résultats différents, mais également sur les gros volumes. On a fêté les 15 ans de La Soyeuse en octobre dernier. Pour l’occasion Bertrand, le fondateur de la brasserie est allé brassé « La petite soif » qu’on fait ici, en Allemagne. Il a emmené le malt concassé. C’est moi qui l’ai concassé comme d’habitude. On avait pris notre houblon. Tous les ingrédients étaient les mêmes. Les différences venaient de l’eau et du matériel. Ça n’avait rien à voir!! C’était de la flotte, enfin pas vraiment, c’était de la « bière allemande ». Là-bas, ils ont des cuves ouvertes. La bière était réussie mais moi, elle ne m’a pas plu. Je pense que c’est aussi le cas sur du petit matériel. Si tu fais 10 fois la même recette, je pense qu’on aurait 10 résultats différents.

Quel conseil donnerais-tu à un brasseur débutant?

Pour ceux qui commenceraient, je pense que la bonne méthode est de commencer en tout grain. En fait, je n’ai jamais brassé avec de l’extrait de malt donc j’en parle sans connaitre… Si le kit de Nature et découverte était avec de l’extrait de malt. Je trouve qu’on gère quand même mieux en tout grain. Et puis ce n’est pas beaucoup plus compliqué. l faut un système de filtration en plus, mais bon un sac de filtration coûte 3-4 €

Découvrez, en vidéos, nos essais d’un kit tout grain et d’un kit à l’extrait de malt.

Si tu devais faire le kit parfait pour brasseur, tu y mettrais quoi?

Pour t’aider à y voir plus clair avec le matériel, n’hésite pas à consulter notre article sur le sujet. Tu y trouveras des descriptions et des photos.

Voici la liste proposée par Vincent

– Le densimètre

– Eviter la cuillère à sucre. Je trouve que ça ne sert à rien. Ces petites cuillères existent pour doser la quantité de sucre que tu dois mettre dans chaque bouteilles– Deux brocs

– Une pelle à malt,

– Un fourquet n’est même pas indispensable. Je prends mon écumoire et ça fonctionne mieux qu’avec mon fourquet… Donc non, pas de fourquet.

Deux seaux en plastique de 30 litres avec robinets et barboteurs pour les deux. Moi ce que je fais, c’est qu’il y a un seau qui est percé plus haut pour le robinet. Pour la première fermentation, comme ça je ne prends pas les levures (la lie). Ensuite, je transfère dans l’autre et je le mets à froid et ça permet de prendre moins de levure. Mais ça suppose de percer soit même ses seaux. C’est parfois même mieux fait que ceux qu’on peut acheter, qu’il faut souvent poncer…

– Du produit nettoyant : moi j’utilise le chemipro oxi. Je n’ai jamais eu de contaminations. En ce moment j’utilise aussi de la soude en granulés pour laver la cuve une fois que j’ai fini de brasser. Je fais tourner 20 minutes à 60°C avec les petites billes de soude. Et ça m’enlève tout ce qui reste (même s’il ne reste plus grand chose). Je sais qu’à chaque fois que je recommence, elle est propre.

A cela, Vincent ajoute :

– J’ai vu qu’aux Etats-Unis, ils faisaient des glacières super bien faites avec un filtre, d’une contenance de 5 gallons (environ 30 litres). Elles sont vraiment bien faites, donc je mettrais ça dans le kit.

– une cuve Brewferm chauffante avec régulation de température.

– Un serpentin de refroidissement. Ça coûte cher le serpentin. J’en avais fait un en cuivre, c’est vraiment simple à faire. Il faut prendre un seau et l’enrouler autour. Et puis même la forme n’est même pas vraiment importante au final.

– Quelques bouteilles.

– Moi j’ai une encapsuleuse sur pied. Les capsuleuses manuelles sont quand même pas terribles. C’est aussi possible de proposer des bouchons mécaniques. J’en ai sur mes bouteilles de 75 cl. Avec le chemipro oxi, je lave à chaque fois les bouchons mécaniques et les capsules.

– Un petit siphon pour laver les bouteilles, avec un réservoir que je remplis avec du chemipro oxi et l’eau chaude. Je secoue cinq fois et après je rince avec de l’eau froide. Ça nettoie très bien, ça va bien au fond, même des 75 cl. Ensuite je les retourne et je les positionne sur l’arbre d’égouttage

– Un moulin pour concasser le malt. Je ne conseille pas l’achat du malt déjà concassé. Si le malt est concassé le lundi et que tu le reçois le lundi suivant ce n’est pas bon. Plus tu le concasses tôt, plus a perte de rendement est grande. Il faut essayer de le faire tout de suite avant.

Peux-tu partager des trucs de brasseur avec les débutants?

A faire : je pense qu’il faut noter ses priorités, c’est à dire savoir à quoi donner ses priorités. Sur les forums de brassages amateurs, certains vont donner la priorité à l’eau, au pH et puis à côté de ça, ne font pas attention au nettoyage.

Après ça dépend de chacun, mais les priorités pour moi seraient le nettoyage et les températures Cela me semble essentiel, mais c’est mon avis. Ne pas s’éparpiller à vouloir faire plein de trucs.

Sur les premières recettes, faire des trucs simples, peut-être éviter d’inventer au début. C’est facile de se planter. Exemple : Les recettes SMASH Single malt single hop (simple malt simple houblon).

Et surtout faire attention aux températures. Peut-être tester la température avant de faire sa première recette, quitte à perdre un peu de malt. C’est ce qui me semble le plus compliqué à faire. 

Pour le nettoyage, je n’ai jamais eu de souci, je n’ai pas l’impression que ce soit compliqué à gérer (notamment avec le produit chemipro oxi). Je mets 7 litres d’eau chaude avec 2 cuillères à café de produit. Puis il faut remuer et laisser reposer une demi-heure et puis voilà! Et puis je rince à l’eau froide et c’est terminé. Les brosses qui abîment le seau sont quand même à éviter…

Comment gères-tu tes stocks de brasseur ?

Avant je réfléchissais en regardant ce dont j’avais besoin pour réaliser ma recette, et j’allais acheter.

Maintenant, j’essaie de prendre ce que j’ai, quitte à faire des compromis. Si ce n’est pas assez foncé par rapport à ce que je veux, je vais rajouter tel malt que j’ai déjà, et qui n’est pas forcément spécifié dans la recette de départ. Et je le fais rentrer parce que ça me va bien.

Et aussi parfois, parce qu’il faut l’utiliser. Sinon il y aurait des malts que j’aurais depuis trop longtemps. Pareil pour les houblons, récemment, j’ai fait une Imperial IPA, j’ai passé tous mes vieux houblons, j’ai tout balancé dedans. Ça fait un truc super bon (Bon là, c’est pareil, je n’ai pas trop trop noté). Voilà j’y ai mis des houblons et c’était pour les passer. J’essaie plus de passer ce que j’ai et ensuite je verrai.

As-tu des lectures de brasseur à nous conseiller?

Je pense que le plus complet mais qui est en anglais c’est le Palmer (How to Brew – John Palmer).Je l’ai acheté il n’y a pas longtemps, c’est dur de rentrer dedans. Le mec part vraiment loin. J’avais un souci par rapport à une bière qui avait eu une température d’empâtage trop chaude et qui m’a fait 3.5°. Et j’ai trouvé ma réponse dedans le livre.

Et le livre qu’on a eu, il n’y a pas longtemps que Sylvain Jean de Bière et moi nous a prêté, c’est Technologies brassicoles de Nicolas Imbreckx. Il est également vraiment complet.

Vous trouverez ci-dessus des liens affiliés Amazon, c’est à dire qu’ils nous permettent de toucher une petite commission si vous achetez un produit Amazon en passant par ce lien. Bien évidemment cela n’augmente pas le prix final du produit. Ces commissions nous permettent de vous offrir du contenu gratuit, donc merci si vous passez par nos liens pour acheter ces produits !  

Pour ré-écouter le podcast : 

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2 Comments on “Vincent brasseur à la maison et au boulot

  1. Génial ce podcast, Vincent partage pleins d’informations concrètes sur son brassage amateur à domicile (matos, erreurs de débutants…). C’est clair qu’il faut se forcer à noter avec précision les ingrédients qu’on ajoute si on veut pouvoir refaire la recette à l’identique…surtout quand le mélange était génial !

    • Hello Elodie,
      Vincent était vraiment sympa, on a appris pleins de trucs!
      On va mettre à disposition notre fiche de brassage sur le blog pour aider les brasseurs en herbe à enregistrer un max de données. Merci Vincent pour cette idée 😉
      Et merci Elodie pour ton commentaire!

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