Kit tout grain – Essai Rolling Beers

kit Rolling beers 25 matériel inclus

Pour brasser sa première bière à la maison, rien de tel que l’achat d’un kit de brassage de bière. Nous vous proposons ici de débuter par un kit tout grain de qualité en provenance de Rolling beers.

Ce kit tout grain complet contient les matières premières indispensables ainsi que le matériel réutilisable, adéquat et fiable dont vous aurez besoin. Le tout est accompagné par un guide facilement téléchargeable sur le site internet accompagné de quelques explications sur l’emballage du kit. Ainsi, sans avoir besoin d’être un expert et à un prix défiant toute concurrence, vous aller comprendre les étapes du brassage de votre bière, brasser vos 8 premiers litres et déguster une bonne bière maison.

Voici nos 2 tutos vidéo : la première vidéo vous montre le brassage et la seconde, la mise en bouteille après les 15 jours de fermentation

Découvrez dans cet article : comment mesurer vos 8 litres dans votre marmite. Pourquoi il est nécessaire de réaliser un whirlpool. Ce qu’est le « cold crash ». Ce que nous avons pensé de ce kit. Où vous pouvez vous le procurer. Comment participer à notre grand concours!

Avez-vous lu notre article Comment choisir son kit de brassage de bière?

Partenariat Rolling Beers

Nous tenons tout d’abord à remercier l’équipe de Rolling Beers qui a accepté de collaborer avec Comment brasser sa bière. Cet article va vous décrire notre essai du kit de brassage tout grain d’une blanche allemande.

Nous avons également reçu un kit à l’extrait de malt de la marque Brewferm, accompagné d’un lot d’équipement pour débuter le brassage à la maison. Nous vous présentons notre essai de ce kit et ce matériel par ici.

Kit tout grain Rolling Beers

ALERTE GRAND CONCOURS

*** Concours terminé ***

Nous fêtons avec vous les 600 premiers inscrits au blog et
les 1000 abonnés à notre compte Instagram!!!!
A gagner : une carte cadeau Rolling Beers de 100€.

Pour connaître les règles de participation, rends-toi à la fin de cet article.

Contenu du kit du tout grain Rolling Beers

Le kit de brassage contient le matériel suivant :
• seau de fermentation
• couvercle de seau
• barboteur
• robinet de seau
• thermomètre
• 24 x muselets capsules
• 24 x bouchons en plastique
• goupillon
• 100g de produit nettoyant
• 24 x étiquettes pour bouteilles à personnaliser

Malgré les précautions d’emballage, nous avons malheureusement réceptionné un thermomètre cassé… Enfin mea culpa, nous l’avons peut-être manipulé trop brutalement à notre première ouverture du carton hors caméra… Ne vous inquiétez pas, nous avions un autre thermomètre sous le coude!

Pour brasser cette Blanche Allemande, les ingrédients suivants sont également inclus dans le kit :

  • 0,75 kg de malt d’orge de base
  • 0,75 kg de malt de blé
  • 10 g de houblon n°1
  • 5 g de houblon n°2
  • 1 sachet de levure

Les deux malts (orge et blé) ont été préalablement mélangés et concassés. Les houblons sont dans des sachets distincts identifiés par des numéros.

Le matériel non inclus dans le kit

Afin de brasser votre première bière tout grain à l’aide de ce kit, vous devrez ajouter :

  • grande marmite de 8 litres
  • casserole de 4 litres
  • passoire
  • verre doseur
  • minuteur
  • grande cuillère, spatule, louche ou équivalent (vous avez saisi l’idée)
  • des bouteilles : 24 bouteilles de 33 cl, 16 bouteilles de 50 cl ou 11 bouteilles de 75 cl
  • Et un bon pote 😉

Préparation, les jours précédents

1/ Il est très utile de préparer à l’avance, un petit stock de glaçons et blocs réfrigérants. Ces derniers sont utiles pour refroidir le plus rapidement possible la marmite de 8 litres (en sortie d’ébullition). Et pour cela, mieux vaut y avoir penser un peu en avance…

Bain de glace en sortie d'ébullition - kit tout grain

2/ Je vous conseille également de commencer par télécharger le guide d’utilisation du kit de brassage Rolling Beers. Vous pourrez le trouver sur le site internet Rolling.beers.fr. Le lien de téléchargement se trouve tout en bas de leur page, en sélectionnant votre kit de brassage tout grain.

Et pour vous faciliter la tâche, je vous propose également un lien par ici 😉 : Guide d’utilisation du kit de brassage Rolling Beers.

Besoin d’un petit rappel sur les étapes de fabrication d’une bière?

3/ Dernier petit truc, trouvez un moyen d’identifier la hauteur d’un volume de 8 litres dans votre marmite. En effet, à la fin de votre ébullition, il vous sera demandé de compléter le niveau de votre bière jusqu’à 8 litres…

Dans ma marmite, mes 8 litres font 18 cm de hauteur

Dans ma marmite, mes 8 litres font 18 cm de hauteur. Je plongerai ma réglette dans mon moût pour ajuster le niveau.

Empâtage

L’empâtage est le mélange des malts de céréales avec de l’eau chaude afin d’en extraire tous les composés nécessaires à la fabrication de la bière.

1- Faire chauffer de l’eau

La première étape consiste à faire chauffer 4 litres d’eau dans le grande marmite de 8 litres jusqu’à 71°C.

2- Additionner les céréales

Une fois la bonne température atteinte, versez les céréales. Dans notre cas, nous avons le kit de brassage d’une blanche allemande, notre sachet de malts contient donc de l’orge et du blé.

Remarque : pour vous faciliter cette étape, votre malt est déjà concassé. N’attendez pas trop avant de brasser votre bière, sinon votre malt perdra sa fraîcheur et votre rendement ne sera pas optimal.

Le malt a tendance à faire des grumeaux au contact de l’eau chaude. Vous devez vous équiper d’une bonne cuillère ou équivalent pour brasser votre préparation (la maische) et casser ces grumeaux. Nous avons choisi un écumoir!

3- Faire le palier de température

Il est ensuite nécessaire de stabiliser la température entre 67 et 69°C. Cette étape est assez compliqué… Soit la température monte en flèche et il est ensuite compliqué de la faire redescendre, soit à l’inverse, elle stagne…

Lancez votre minuteur pendant 60 minutes. La température doit rester stable pendant toute la durée de votre empâtage. Brassez vos céréales de temps en temps afin de vous assurer que la température est homogène (technique des huits).

A 5 minutes de la fin du chronomètre, commencez à faire chauffer 4 autres litres dans l’autre casserole, jusqu’à 75°C. Cette eau chaude vous sera utile pour rincer les céréales à l’étape suivante.

Faire le palier de température entre 67 et 69°C.

Filtration et rinçage des drêches

La filtration permet de séparer les drêches, du jus sucré qui servira à produire votre bière, le moût. Les drêches sont les céréales, qui ont été épuisées en sucre et autres molécules clés. Ces céréales sont utilisables en cuisine ou au jardin 😉 Ne les jetez pas!

Le rinçage à l’eau chaude permet de maximiser nos chances de récupération de molécules.

1- Filtrer

Nettoyer le seau de fermentation. Un peu de liquide vaisselle avec une éponge propre front l’affaire. Pour lire nos conseils sur le nettoyage et la désinfection, c’est par ici.

Il est ensuite nécessaire de placer une passoire sur le seau et d’y transférer votre préparation.

2- Rincer les drêches

Votre eau de rinçage doit atteindre 75°C avant de pouvoir être utilisée. Puis, à l’aide d’une louche, faites couler doucement de l’eau chaude sur l’ensemble des céréales. Pour permettre à l’eau de bien se charger, elle doit s’écouler lentement au milieu des céréales d’où l’intérêt d’y aller petit à petit.

Rincez les drêches lentement à l'eau chaude.

Mettez de côté vos céréales, vous n’en aurez plus besoin pour votre fabrication de bière. Rincer votre marmite de 8 litres, et transvasez-y (c’est dur à dire ça) le moût.

Ébullition et houblonnage

Le moût est porté à ébullition pour le stériliser et pour permettre aux houblons de libérer leurs amertumes et leurs arômes. Les variétés de houblons sont très nombreuses et apportent des propriétés très différentes à la bière. Pour en savoir plus : tout savoir sur le houblon, comment choisir, utiliser et stocker ton houblon.

1- Ébullition

Commençons par ajouter 1,5 litres d’eau dans la marmite, l’évaporation étant importante pendant l’ébullition… Puis le moût doit être monté en température jusqu’à ébullition.

Le thermomètre n’est plus nécessaire, votre indicateur sera l’apparition des premiers bouillons. Ce n’est qu’à partir de ce moment que vous pouvez passer à l’étape suivante.

2- Houblonnage

Le houblonnage est souvent mené en 2 étapes.

Le premier houblon est additionné en début d’ébullition. Il va donc subir 45 à 60 minutes de très forte température. Ceci lui permet de libérer son amertume. On parle de houblon amérisant.

Dès le début de l’ébullition, additionner le houblon n°1. Puis lancez le minuteur pour 55 minutes.

Breaking new : Les houblons sont fournis en « sachet infusable« , tu peux donc les jeter tels quels dans ton moût. Mais si comme moi, tu es adepte du FREE THE HOPS, n’hésite pas à les jeter sans sachet pour libérer un max de saveurs. Tu pourras faire un whirlpool par la suite pour les éliminer (cf plus loin)!

Pour le second houblonnage, ce sont les propriétés aromatiques qui sont mises en avant. Ce second houblon, dit aromatique, ne doit donc subir qu’une très courte période d’ébullition. Les composés aromatiques, très volatils, n’ont ainsi pas l’opportunité de s’évaporer.

Après ces 55 premières minutes d’ébullition, additionner le houblon n°2. Lancez le minuteur pour 5 minutes.

Versez le houblon dans votre moût en ébullition

Vous avez ensuite la possibilité d’ajuster le niveau de votre moût jusqu’à 8 litres. Souvenez-vous! Nous vous en avions parlé en préparation. De notre côté, nous utilisons une réglette métallique et savons que 8 litres ont une hauteur de 18 cm dans notre marmite.

Fermentation

Vous n’avez presque plus rien à faire, votre levure va prendre le relai pour transformer votre moût en bière.

Votre moût est un milieu de culture optimal pour petits organismes (bactéries, levures). Il contient nutriments en quantité adéquate et va être amené à une bonne température. Votre but : faire en sorte que la levure qui vous a été fournie dans votre kit, transforme ce moût en bière. Cette levure… et rien d’autre!

A partir du moment où votre moût sera refroidi, les conditions d’hygiène doivent devenir irréprochables. Plus rien, qui n’ait été préalablement stérilisé, ne doit entrer en contact avec votre moût. Fermez votre seau dès que cela est possible.

1- Nettoyer et stériliser

Un désinfectant en poudre vous a été fourni dans votre kit. A raison de 4 grammes pour 1 litres d’eau tiède, vous allez pouvoir confectionner vous-mêmes votre solution de désinfection. Appliquez le produit sur l’ensemble des parois, du couvercle, intérieur du robinet de votre seau de fermentation.

A lire aussi   Foire aux questions empâtage

N’oubliez pas de stériliser la cuillère qui vous servira à homogénéiser la levure dans le moût.

Ce produit ne nécessite pas de rinçage. Vous trouverez de long débat sur les forums sur la nécessité de rincer ou non ces produits. Des traces de produit et votre bière pourrait avoir un goût désagréable… Des gouttes d’eau de rinçage laissées sur votre seau (donc non stériles) et une contamination pourrait s’inviter. Bref, depuis peu nous avons de notre côté, choisi de ne plus rincer le produit de désinfection.

Conservez-donc votre solution de désinfection, jusqu’à la mise en fermentation. On ne sait jamais, vous n’êtes pas à l’abri d’avoir besoin de désinfecter à nouveau votre seau ou votre cuillère!

2- Refroidir le moût

Refroidir une grande marmite de 8 litres dans un bain glacé est très long… Et pendant ce temps, les éventuelles contaminations ne sont pas loin.. Cette étape doit donc être en théorie, la plus rapide possible.

Prévoyez un maximum de glaçons car ceux-ci vont rapidement fondre. Si vous avez la possibilité de les remplacer, c’est une bonne chose. Pourquoi ne pas laisser un filet d’eau froide couler pour accélérer le refroidissement?

Comme vous avez pu le voir dans notre vidéo, nous avons un peu triché. Afin d’accélérer le refroidissement, nous avons utilisé notre serpentin

Vous devez refroidir votre moût jusqu’à une température de 18°C. Pour en savoir plus sur les températures pendant votre fermentation, je vous conseille d’aller lire cet article.

3- Transfert et ajout d’une étape intermédiaire

Une fois 18°C atteints, vous pouvez transférer le moût de votre marmite de 8 litres vers votre fermenteur.

En réalisant cette étape, nous avons constaté un dépôt important de matières végétales au fond de notre marmite. Ce dépôt est dommageable pour votre future bière. Il peut apporter des faux goûts, donner une texture désagréable à votre bière (boire des morceaux n’est jamais agréable), il peut également être à l’origine d’un surmoussage. Connaissez-vous le gushing?

credit: Research Gate http://tinyurl.com/l2ygt9h 

Le whirlpool est un tourbillon créé par le fourquet en fin d’ébullition du moût pour concentrer les particules protéiques (protéines, résidus de houblon et de céréales) dans le centre de la cuve et obtenir une bière plus limpide.

En pratique, à l’aide de votre cuillère, faites un mouvement rotatif rapide dans votre moût. Puis laissez reposer 10 à 15 minutes. Le dépôt va se déposer dans le fond au centre. Transférez ensuite le moût dans votre marmite, en faisant attention à ne pas faire couler les particules solides (jetez un œil à notre vidéo si besoin).

Nettoyez et désinfectez à nouveau votre seau de fermentation. Puis transférez-y à nouveau votre moût qui est, cette fois, beaucoup plus limpide!

Le whirlpool concentre les matières végétales au centre du fermenteur
Le whirlpool concentre les matières végétales au centre du fermenteur

Transfert du fermenteur vers la marmite après le whirlpool
Transfert du fermenteur vers la marmite après le whirlpool

4- Ensemencer, homogénéiser et oxygéner le moût

Rolling beers préconise un ensemencement direct. Pour cela, découpez le sachet de levure et versez-les directement dans le moût.

De notre côté, nous avons l’habitude d’offrir les meilleures conditions possibles pour la prolifération des levures. Nous procédons généralement à une réhydratation des levures avant ensemencement. Pour savoir pourquoi et comment procéder, jetez un œil à notre paragraphe sur l’ensemencement de notre recette de bière à l’ortie.

A l’aide de votre cuillère, mélangez convenablement votre moût avec vos levures, tout en gardant en tête le risque de contamination. Cette homogénéisation permet également de dissoudre de l’oxygène dans votre moût. Cet oxygène est indispensable à votre levure!

5- Chuut… laisser fermenter

Votre fermenteur doit être hermétiquement fermé. Assurez-vous que le couvercle ne laisse pas passer d’air.

Remplissez le barboteur d’eau jusqu’au niveau indiqué. Celui-ci permet au dioxyde de carbone produit pendant la fermentation de s’échapper tout en empêchant les éventuelles contaminations. Le capuchon rouge doit rester sur le barboteur. Il permet à l’eau de ne pas sortir du barboteur si la fermentation venait à être très intense.

En effet, parfois le kraüsen monte jusqu’au barboteur. Le kraüsen étant la couche plus ou moins épaisse de bulles créée par la levure en phase de croissance exponentielle. Visible au dessus du niveau du liquide, elle est composée de levures très actives. Sa présence est un signe du bon déroulement de la fermentation.

Laissez votre fermenteur pendant 2 semaines à l’obscurité et à une température constante comprise entre 18 et 22°C. La stabilité de cette température est déterminante pour la qualité de votre bière. Pour en savoir plus et lire quelques astuces pour maintenir une température stable.

On peut apercevoir le dépôt laissé par le kraüsen sur les parois du fermenteur

Déplacer le fermenteur dans un endroit frais (réfrigérateur, garage, cave…) pendant 1 semaine supplémentaire. Cette dernière étape permet de faire sédimenter les levures et autres éventuelles particules en suspension dans la bière. C’est ce qu’on nomme le cold crash.

Votre barboteur va d’abord beaucoup s’exprimer puis devenir silencieux dès le second jour de fermentation. Ne vous inquiétez pas, ceci est normal. Pour en savoir plus sur le fonctionnement des levures et consulter notre FAQ sur la fermentation.

Embouteillage

1- Obtenir des bouteilles

La meilleure des options est la récupération de bouteilles ayant déjà contenu de la bière. Préférez dans ce cas, des bouteilles au verre sombre, ce qui préserve les saveurs de votre bière. Vous pouvez également acheter un lot de bouteilles que vous réutiliserez quasiment à l’infini 😉 Les bouchons et muselets sont contenus dans le kits!

Vous devez vérifier la hauteur de la butée du goulot. Celle-ci doit être supérieure à 15mm. En effet, les muselets doivent pouvoir s’accrocher correctement dessous la butée.

On s’est fait avoir avec les premières bouteilles que nous avons nettoyées, le goulot étaient trop haut!

Pour embouteiller 8 litres de bière, vous aurez besoin de 24 bouteilles de 33 cl, 16 bouteilles de 50 cl ou 11 bouteilles de 75 cl.

2- Nettoyer les bouteilles et les bouchons

Le kit contient un goupillon. Commencez par nettoyer vos bouteilles au produit vaisselle. Plus aucun dépôt ne doit être présent dans le fond de la bouteille! C’est possiblement le cas pour les bières artisanales qui procèdent à une refermentation en bouteilles. Un dépôt de levure se dépose en fin de cycle…

Bain de désinfectant avant embouteillage

Pour éviter cela, dès que votre bouteille de bière est vide (toute bue), rincez-la soigneusement à l’eau chaude. Tout le dépôt sera décollé.

L’étape suivante est la désinfection! Comme nous vous l’avons présenté un peu plus haut. Préparez votre solution désinfectante à partir du produit contenu dans le kit. Et désinfectez l’ensemble des bouteilles (intérieur et extérieur) sans oublier le goulot!

Attention, le goupillon fourni est trop petit pour
aller jusqu’au fond d’une bouteille de 75cl…

Les bouchons et muselets sont neufs, ils ne nécessitent pas l’étape de nettoyage, pensez juste à la désinfection (idem en cas de bouteilles neuves).

Laissez égoutter les bouteilles à l’air libre tête en bas pour éviter les résidus de produit. Les bouchons peuvent patienter dans le désinfectant avant leur utilisation.

Vous avez pu apercevoir dans la vidéo, le merveilleux système Fast-rack que nous utilisons pour égoutter nos bouteilles depuis quelques mois. Ça nous a vraiment simplifié la tâche… A bon entendeur 😉

3- Préparer la solution sucrée

Vous allez maintenant procéder à une re-fermentation en bouteille. Cette étape a pour but de carbonater votre bière (créer les bulles). Pour cela une addition de sucre permet de réactiver les levures. La capsulation accompagnée de cette nouvelle production de CO2, fait monter la pression interne. Peu à peu le CO2 se dissout dans le corps de la bière.

La concentration nécessaire pour le sucre est de 6g/litre de bière. Or nous avons 8 litres de bière, pesez 48 grammes de sucre de table blanc. Dissolvez ce sucre dans de l’eau préalablement bouillie (stérilisée donc). Puis refaites bouillir pendant 2 minutes.

Laissez refroidir votre solution de sucre afin de ne pas créer un choc thermique pour vos levures!

4- Soutirer la bière et sucrer

Transvasez votre bière vers la marmite préalablement désinfectée. Cette étape, que l’on nomme le soutirage, permet d’éliminer les levures mortes qui se sont déposées au fond du fermenteur en fin de vie.

Soyez toujours extrêmement vigilant face au risque de contaminations! Pensez également à ôtez le barboteur pour éviter que l’eau du barboteur ne soit aspirée dans la bière lors du soutirage!

Additionnez la solution sucrée et mélangez soigneusement à l’aide d’une cuillère désinfectée.

Votre marmite n’étant pas équipée de robinet, vous devez à nouveau transvaser votre bière vers votre seau (désinfecté à nouveau)… Fastidieux? Nécessaire!

5- Mettre la bière en bouteilles

Pourquoi ne pas commencer par une petite désinfection du robinet, un papier essuie-tout, un tissu enroulé pour entrer dans le goulot du robinet?

Placez vos bouteilles vides sous le robinet du fermenteur et remplissez délicatement en faisant couler la bière sur le bord de la bouteille.

Enfoncez les bouchons en plastique. Ça pourrait simple comme ça… Dans la pratique, pour enfoncer les bouchons, il faut avoir de la force (ce n’est pas notre cas) alors nous y sommes allées à la massette tout en douceur! Et puis sertissez les muselets en dessous de la butée en vérifiant bien qu’ils sont bloqués dessous la butée…

Maturation et dégustation de la bière

Cette dernière maturation permet de finaliser la bière : création des dernières bulles, réabsorption des composés indésirables, sédimentation des levures dans le fond de la bouteille et donc clarification de la bière, etc., etc…

Stocker les bouteilles de bière dans un endroit tempéré (entre 18°C et 22°C) et à l’abri de la lumière. Attention à bien laisser les bouteilles verticales. Attendez 10 jours supplémentaires pour cette refermentation.

Vous pourrez ensuite déguster une bonne bière maison, ronde en bouche, jolie mousse, robe moisson, une vraie délectation!

Notre avis sur ce kit

Foncez les yeux fermés!

Un très bon kit pour s’initier au brassage tout grain.
Des explications claires, un lot d’équipement complet, des ingrédients de qualité.
Sa force : permet de brasser 8 litres en une seule fois! Le seul kit sur le marché à ma connaissance; et donc prix au litre de bière imbattable!
Sa faiblesse : les bouchons muselets, une petite galère à la fermeture et même à l’ouverture… Et puis le goupillon trop petit pour les bouteilles de 75 cl (il suffit de le savoir à l’avance!)

Acheter les kits tout grain Rolling Beers

Vous souhaitez offrir ou vous offrir ce chouette kit de brassage tout grain. Je vous propose de passer par ces liens affiliés Amazon. Cela signifie que je touche une petite commission 😉 et vous permet de me reverser une contribution pour les articles que je vous met à disposition sur ce blog. Qu’en pensez-vous?

Vous trouverez les kits de brassage en version originale (contiennent le matériel), ou en version recharge. Dans ce cas, vous n’aurez que les ingrédients.

Kit tout grain – Blanche
Kit tout grain – IPA
Kit tout grain – Blonde
Recharge IPA
Recharge Triple belge
Recharge Blanche
Recharge Irish Stout

Vous pouvez bien évidemment acheter directement ces kits sur le site Rolling Beers.

Les règles de participation du grand concours

*** Concours terminé ***

A lire aussi   Kit à Bière - Essai Brewferm

Ha, ha, bande de petits impatients! J’espère que vous avez pris le temps de lire l’article!!

Rappel : une carte cadeau Rolling Beers de 100€ à gagner!

Voici les règles de participation:

1/ Abonne-toi au blog (si ce n’est pas déjà fait) et reçois ainsi régulièrement les newsletters qui t’annoncent la publication des articles. Les formulaires sont présents à différents endroits du blog, je sais que tu les connais déjà ;).

2/ Sous cet article, laisse-nous un commentaire pour nous dire depuis combien de temps tu brasses et racontes-nous tes débuts en 2 mots.

3/ Suis la page Facebook de Comment brasser sa bière. Tu préfères Youtube, Instagram ou Twitter? Allez je te laisse le choix. Nous parlerons de tout ça en message privé!

4/ Pour maximiser tes chances de gagner : partage cet article sur un max de réseaux sociaux!

Date limite de participation : 6 octobre à minuit!

Petit brasseur, où en es-tu?

As-tu testé un kit tout grain, si oui lequel? Le conseillerais-tu pour débuter le brassage à la maison? Si tu as testé celui-ci, qu’en as-tu pensé? Laisse-nous tous ces détails en commentaires.

Un dernier mot : si vous aimez cet article, merci de le partager (les boutons réseaux sociaux sont juste là). Et si vous voulez plus d’informations exclusives sur le brassage à la maison, inscrivez-vous à ma newsletter en utilisant le formulaire ci-dessous.

A très vite,

48 Comments on “Kit tout grain – Essai Rolling Beers

    • Salut à vous deux 😀 un grand merci de faire vivre le brassage amateur comme vous le faites via le blog. Très heureux également d’avoir pu partager des moments de brassage « pro ».
      Venez nous voir à Nomade quand vous voulez (surtout quand on sera installé héhé).
      Bonne continuation à vous deux et à très bientôt 😉

      • Yes, Merci Vincent!
        On met le Nomade dans notre liste parce que c’est toujours autant formateur de discuter et voir les pros en action 😉

  1. Ou j’en suis dans mon brassage? Bah en tout honnêteté pas très loin. ☺
    Je commence à me fournir de matériel et je commence les livres de brassages que jai achete il y a quelques temps. Je me suis trouvé une Damme-jeanne il y a une semaine.
    J’avais déjà repéré Rolling Beers pour mon matériel et Je pense bien acheter mes produits là-bas.

    Merci beaucoup pour le livre disponible au téléchargement. Je suis sûr qu’il me sera utile. ☺

    • Hello Alex, merci pour ton partage d’expérience 😉
      Dame Jeanne trouvée il y a une semaine : La date du premier brassin approche! Bonne lecture d’ici là.
      Et on enregistre ta participation pour le concours alors!

  2. Salut, je brasse en BIAB depuis 1 an, j’ai fait une dizaine de brassins, des smash principalement, dans le but de me familiariser avec les goûts des différents ingrédients.
    Agricultrice bio, j’envisage cette année de faire malter une partie de mes céréales afin d’avoir une petite autonomie 🙂
    Et j’aimerais beaucoup gagner ces 100€ de bons d’achat ^^

    • Hello Caro,
      Super bonne approche les SMASH pour apprendre les saveurs !
      Génial pour tes céréales, est-ce que tu les partages ?? Tu es dans quel coin?

  3. Je brasse depuis un peu plus de trois ans maintenant.

    Pour décrire mes débuts en deux mots, je dirais patience, car il en faut beaucoup, pour lire, pour apprendre, pour bien réaliser toutes les étapes et conduire à bien un premier brassin, et pour attendre la dégustation bien évidemment !!

    En second, je dirais erreur, car souvent malgré la patience, la théorie, et la bonne volonté des erreurs arrivent, et il en faut pour pouvoir continuer à progresser. L’avantage d’être au contact d’un produit vivant en constante évolution, c’est que des erreurs peuvent s’avérer parfois, être de belles surprises.

    Merci à vous deux de partager au plus grand nombre notre passion, au plaisir de vous croiser au détour d’un événement sur Lyon.

    • Un lyonnais 😉
      Merci pour ce long commentaire qui laisse transparaître ta passion!
      Je suis tout à fait d’accord avec toi sur les « parfois très bonnes surprises », mais celles-ci sont parfois difficiles à reproduire aussi bien.
      Salon Verpibière ce we?

  4. Mon premier brassage… si on aime les bières amères et qui explose à l’ouverture, on pourra alors me dire que ma bière est bonne. Une atout amère et assez pétillante faite avec les moyens du bord (une vieille marmite et un gros pots de yaourt de 5L 😂). Mes potes étaient assez fier de moi et m’ont apporté d’autres conseils pour trouver de nouvelles saveurs.
    Vivement la suivante 😁

    • Ha les explosions à l’ouverture… Au moins on ne les oublie pas, ces brassins-là!
      Si tes potes étaient fiers de toi, tu as ta communauté, fonce!

  5. hey hey, abonnée sur le site, sur fb et sur insta 🙂
    débutant en brassage depuis pile 1 an. des péripéties, des attentes, des fietés et une passion qui prend de plus en plus de place!! 🙂 vivement la suite! 🙂

  6. Je me présente Jérôme je brasse depuis 6mois avec un ami et j’aime vraiment beaucoup faire ça !
    Niveau matériels c’est très rudimentaire! Une marmite 38l un filtre et un seau de fermentation!
    Et oui je fais de la bonne bière. Je souhaite commencer à investir un peut plus car je souhaite améliorer les processus.

  7. Hello ! Brasseur one shot, j’envisage tout plein de nouvel essai pour me perfectionner… Pourquoi pas un kit Rolling Beers ?! À bientôt !!

  8. Bonjour, nous sommes 3 copains vivant à la Réunion et nous nous sommes mis a brasser il y a 6 mois environ avec des kits tout grain. Vu que nous nous sommes pris au jeu, nous avons acheté une cuve de 50 litres que nous avons reçu ce we. Il ne nous reste plus qu’à brasser maintenant et avec les ingrédients de rolling beer cela sera parfait 😉 . On vous suit également sur Facebook et instagram. bonne journée à vous et au plaisir de vous lire prochainement.

    • Hello Grégory,
      Trois copains de la Réunion c’est chouette. Ça va c’est pas trop galère pour les approvisionnements? Comment faites-vous pour les levures, elles sont toujours actives et performantes?
      Merci à vous!

      • Alors l’approvisionnement en houblon est hyper compliqué avec la douane . Plante non endémique de l’ile Du coup il faut ruser pour en recevoir . Niveau malt aucun souci par contre . En ce qui concerne les levures et bien grosse différence entre la saison sèche et la saison humide . On a été obligé d’investir dans des frigos pour avoir une fermentation constante non dépendante des températures extérieures …. en saison des pluies on n’arrivait pas à reproduire les bières .

        • Ha oui, compliqué pour le houblon, même si il est sous forme de sachet de pellets sous vide?
          Est-ce qu’il y a du malt sur place?
          Enorme, pour les fermentations en conditions sèche ou humide!
          Vous vous êtes rapprochés des brasseries artisanales pour trouver les bons filons? Il y en a quelques unes maintenant!

          • Même sous forme de sachet en pellet ça bloque quelque fois sauf avec rolling beer. Pour le moment il n’y a qu’avec eux que nous n’avons pas eu de soucis. pour le malt on l’importe également . On passe par un grossiste local le même qui nous a fourni notre matériel de brassage. En ce qui concerne les brasseries artisanales locales on a commencé a échanger avec certaines oui . Mais beaucoup rencontrent les mêmes difficultés avec le houblon . En espérant que cela s’améliore avec le temps.

  9. Hello les brasseurs
    Pour ma part j ai commencé à brasser il y a environ un an. Avec les bonnes galères qui vont bien, par exemple un thermomètre qui affichait pas la bonne température autant dire que le brevage final n étais pas au top!
    Mais à force de persévérer j ai réussi à améliorer mon processus de brassage. J utilise la fiche de brassage du blog qui m aide beaucoup.
    Le monde du brassage est vaste et il y a encore énormément a apprendre et à déguster 😉

    • Un retour d’expérience sur le thermomètre! C’était un digital? Il parait qu’ils ne fonctionnent pas bien en environnement humide.. C’était ça le problème?
      Super pour la fiche de brassage!

  10. Hello,

    Le brassage, je débute, premières fermentations en cours… Je me fais mes armes pour ainsi dire et vois déjà devant moi tous les essais à faire pour arriver au Graal : avoir une bière à mon gout… Alors 100 EUR pour tester les kits existants me permettraient de me faire la main et de trouver peut être une base pour mon Graal !!!

    Thierry

    • 100 €, c’est un chouette cadeau en effet 😉
      Mais j’ai l’impression que la concurrence va être rude! Courage pour tes essais!

  11. Salut !
    Cela fait environ 2 ans que je brasse maintenant. Je ne fais que des brassins de 5 litres pour pouvoir avoir peu de stock et faire plein de choses differentes.
    Comme vous l’expliquez, les debuts sont tout un tas de petite galère. Ma plus belle ? Echapper ma passoir pleine de malt dans mon mout et repeindre les murs de la cuisine…
    J’espère gagner, ca me permettrai d’acheter des ingredients sur RB là où je commande déjà !

  12. Salut,
    Pour ma part cela fait deux ans que j’ai commencé à brasser dans mon garage, pas mal de surprise et de galère mais je suis assez satisfait du résultat.
    Ma plus grosse réussite avoir brasser plus de 60 litres de la même bière en plusieurs brassins pour offrir aux invités à mon mariage en août dernier. Résultat des invités aux anges et énormément de retours positifs, ça fait toujours plaisir.
    Prochaine étape tests et améliorations du matériel (iSpindle par exemple) et de nombreuses idées de recettes déjà en tête. 100 euros c’est top pour acheter des matières premières 🙂
    Et au passage j’utilise la fiche de brassage depuis qu’elle est sortie et je n’ai pas trouvé mieux.
    Christopher

    • Yeah! Félicitations!
      Je ne connaissais pas le iSpindle, très intéressant, merci pour l’info. Et chouette pour la fiche de brassage, si elle peut vous être utile, c’est tant mieux. On se l’était créée pour nous à la base et puis de fil en aiguille…

  13. Salut,
    j’en suis à mon deuxième brassin le 1er un indian pale une super réussite, le 2eme une blonde mis en bouteille en attente de dégustation
    merci pour vos conseil et de partagez vos experiences

    • Vivement la prochaine dégustation alors 😉 Si des thématiques d’articles vous intéresse plus particulièrement, il faut nous en parler! A très bientôt

  14. Très bel article et belle récompense à la clé. Je brasse depuis bientôt un an avec à mon actif différentes Américan Pâle Ale et une Bohemian Pils en cours d’élaboration. Les kits sont en effet un très bon moyen de commencer sans se prendre la tête sur l’élaboration de la recette. Merci encore pour votre fiche de brassage qui est vraiment géniale !

  15. Salut,
    le genre d’article que j’aurai aimé lire il y a un peu plus d’un an.
    Je suis à un quinzaine de brassin depuis donc un an et je commence à avoir des choses qui me plaisent ! Notamment un Porter au miel que je viens de faire et pour lequel j’ai de bons retours de ma communauté de gouteurs ! Et pourtant, ce n’est pas le style le plus accessible !
    Bref, je dois avoir chopé le virus du brassage et de la bière en général. Quelle suite? On verra, mais à minima continuer ainsi à découvrir et à créer de nouvelles bières !!
    Kenavo !

    • Je me suis acheté du bon miel ce matin. Je vais faire des essais de ce côté-là moi aussi!
      La création des recettes, c’est vraiment chouette (et la Bretagne aussi)!

  16. 1ERE PARTIE
    Salut à tous,
    Suite à cette vidéo, je me suis motivé à réaliser mon 1er brassin hier.
    J’ai choisi la recette « triple belge », qui est la seule à un volume final de 6 litres (contre 8 litres pour toutes les autres)
    Voici donc mes retours d’un débutant :
    1 – Déjà en lisant le guide , je me suis demandé si celui-ci prenait vraiment en compte cette recette à 6 litres : Il parle de compléter à 8 litres en post-ebu. Le SAV me répond que oui c’est 6 litres pour ma recette et non 8 litres comme ecrit dans le guide .
    Au final je me demande si j’aurai besoin de compléter quoi ce soit en post-ebu pour arriver à 6L qd on commence avec 4 litres d’empâtage puis 4 litres de rinçage et enfin encore 1,5 litres en pré-ébu , bref je doute du guide pour cette recette…

    2 – Empâtage/rinçage : Je suis en induction avec vieille marmite de 13 litres.
    Je comprends vite que garder une température entre 67 et 69 ne va pas être une sinécure. J’ai passé une heure à jouer du thermostat et à malaxer continuellement (alors que dans la vidéo cela semble si simple lol) …ERREUR/IMPACT(S)?…pour tenter d’avoir une maische à température homogène malgré l’utilisation du thermomètre fourni et une autre sonde culinaire que j’avais déjà chez moi
    Avec un ratio eau/grain à 2 litres, il faut déjà un bonne huile de coude pour faire des 8 dans la marmite.

  17. 3EME PARTIE

    6 – fermentation : 23 degrés => Ensemencement AFPALE T58 fait sans réhydratation, il était 1h du mat….7h plus tard , ça “bullotte”, sceau mis dans le noir à 19/20 degrés… En cours…

    Bilan : Comme toute 1ere expérience , c’est là qu’on s’aperçoit de la théorie versus la pratique.
    L’aspect matos et sa prise en main / maîtrise.
    L’hygiène , l’organisation, prise de note, planning, prévoir l’imprévu lol, essayer toujours d’avoir un coup d’avance pour être serein au final.

    Avec 5 ERREUR/IMPACT(S) lors des process, que j’identifie comme tel à mes yeux mais je suis (trop) exigent , je doute du résultat qd même…

    A refaire bien sûr mais un peu plus équipé que le kit lui-même : densimètre, cuve de chauffage,serpentin, etc…
    Je ne sais quoi penser du thermomètre fourni et de sa fiabilité . Je ne savais qui croire en comparaison du mien, des fois l’écart était énorme !
    Je regrette que l’on ai pas un densimètre avec les DI et les DF pour savoir un minimum vers où ont doit aller selon les recettes mais j’imagine que l’on peut le définir théoriquement

    Suite dans 3 semaines ! Pour Resucrage, soutirage et Embouteillage!
    Je vous tiens au “jus” !

  18. 2eme PARTIE sur 3

    Au final je pense avoir fait les montagnes russes pendant une heure, entre 63 et 70 degrés avec une homogénéité de la température dans la maische qui me laisse vachement perplexe…ERREUR/IMPACT(S) ?

    Avant rinçage : 2 litres dans le seau
    Après rinçage : 7 litres dans le seau
    J’ajoute 1,5Litres comme le guide le demande
    => pré-ebu : 8,5 litres dans la marmite

    3 – Ebu : Enfin une pause 🙂 . Rien à signaler. Pas oublier de mettre le sucre candy, que j’ai remplacé par du « vrai sucre candy » à même quantité….ERREUR/IMPACT(S) ?
    post-ebu : 5,5 litres !!!
    Je complète donc à 6 litres comme le SAV m’a informé.

    4 – Refroidissement : Alors là , condition pas du tout optimale , j’ai du mettre 3 ou 4h pour arriver à 25 degrés (vous parlé de 18 degrés dans l’article et 25 degres dans la video) , pas assez de glace , pas de serpentin, bref pas tip top niveau protection contre les micro-oraganismes…ERREUR/IMPACT(S)?

    5 – whirlpool et transferts : Je ne saurai dire si cela aura été efficace car lors des transferts, sur la fin des seaux, je ne savais dire ce qui était de l’ordre du residu à éviter ou du mout dense et opaque. Bref je pense qu’il y a encore du déchet

    Je suis à 5,5 litres (perte des 2 transferts) , j’ai décidé de compléter à 6 litres….ERREUR/IMPACT(S) ?

  19. Hello,
    Je faisais part de mes doutes sur le guide pour la recette « triple belge » dans un post précédent.
    J’avais écrit au SAV Rolling Beers pour leur en faire part le 25 avril
    Hé bien le guide du « kit tout grain » dispo sur le site , a été modifié ces derniers jours pour l’adapter à la spécificité de la recette « triple belge ». J’ai remarqué cela hier…
    Petits changements mais qui ont un grand impact !
    Et comme moi j’ai brassé le kit avec la veille version….bah le résultat risque de ne pas être à la hauteur des espérances…

    CONSEIL : Donc à tous ceux qui ont acheté un kit « triple belge » et qui avait téléchargé/imprimé le guide vers fin avril/début mai , je vous conseille de télécharger de nouveau le guide avant de commencer à brasser cette recette « triple belge » !!!

    @+!

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